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encore un autre petit coup …

Paysans …

Bruxelles encore un petit coup

c’est ici:https://www.youtube.com/watch?v=eR3xioXIbVU


Pétition « Soutien aux 7 gendarmes ! » :https://les-patriotes.fr/soutien-aux-…

Bruxelles encore et encore

à voir:https://www.youtube.com/watch?v=v8JiV63TQFs

À Bruxelles avec les paysans

L’UE sanctionne Jacques Baud : une dérive autoritaire assumée

JACQUES BAUD, ancien colonel des renseignements suisses et analyste indépendant, a été ciblé par l’UE: avoirs gelés, interdiction d’entrée…
Le motif ? Ses analyses publiques jugées « prorusses » par Bruxelles.
Aucune accusation de collusion, de financement étranger ou de désinformation prouvée. Uniquement des opinions divergentes du discours officiel.
Cette sanction s’inscrit dans une série de mesures récentes (DSA, Chat Control) qui soulèvent des questions sur les limites de la liberté d’expression analytique en Europe.

Notre réponse: transformons cette #censure en caisse de résonance.https://www.youtube.com/watch?v=pfP9qNaCRrI

À Bruxelles, ce matin

HUMOUR ?

Et quelques mots d’un paysan anonyme.

Quelques mots de Xavier Moreau.

De Sputnik Africa

PETITE INFORMATION « TECHNIQUE »

J’ai déjà remarqué – aujourd’hui en particulier – qu’il ne m’est pas ou plus vraiment possible d’intégrer directement un lien YouTube sur le logiciel de wordpress.com que j’utilise, mais qui est pourtant dédié à cette action.
Ou du moins, cela semble dépendre du lien, ou des jours. En particulier de la fréquence du recours à YouTube : du nombre de liens ou d’ouvertures de liens sur un même article par exemple.
J’ai ainsi remarqué qu’il suffisait d’appeler plusieurs liens de vidéos de YouTube dans un espace de temps assez bref pour que l’on soit considéré comme un robot et que l’on (YouTube) nous demande de confirmer que nous sommes bien un humain.
Aussi viens-je de mettre, à cause de cela, en toutes lettres, le lien des vidéos sur le précédent article.
Par contre, sur des articles antérieurs et qu’il n’y a pas de liens en toutes lettres, si cela vous arrive (car je ne sais pas si c’est mon problème ou un problème plus général et récurrent), il faut consulter la vidéo dans une autre fenêtre. Pour ce faire, il suffit d’effectuer un clic droit sur l’image de la vidéo, puis de cliquer à nouveau sur « copier l’url de la vidéo », mettre ce lien dans un fichier texte, et enfin, de l’ouvrir en recliquant dessus.
Je constate également que d’un jour sur l’autre des vidéos deviennent subitement invisibles, déclarées « introuvables » ; ce peut-être l’auteur de la vidéo qui l’a ôté pour une raison ou pour une autre. Mais je suspecte YouTube d’en être aussi parfois responsable. Et là, je ne peux rien y faire.

AU HASARD DE L’ACTUALITÉ PAYSANNE


Les agriculteurs mobilisés du Val de Loire

OUVRIR ICI:https://www.youtube.com/watch?v=vO4pDIoyubE


Devant le Parlement européen à Strasbourg
À REGARDER SUR YOUTUBE:https://www.youtube.com/watch?v=aYeBD6SBcvQ


Vous n’êtes pas des héros!

Sarah Jane Iffra


Ouvrir ici : https://www.youtube.com/watch?v=gCoMuMbMYEY&list=RDgCoMuMbMYEY&start_radio=1&pp=oAcB


On n’a jamais été aussi proche d’une guerre civile

Ouvrir ici:https://www.youtube.com/watch?v=HPG0DzNib3k


Message à Genevard (ex prof de français) ministre de l’agriculture

Ouvrir ici :https://www.youtube.com/watch?v=2uOFfKmmWts


Ça tourne vraiment très mal pour Macron !…………………………………..https://www.youtube.com/watch?v=hLCobcNdqQs

LA MORT PROGRAMMÉE DU PAYS ?!

Hier soir à Auch dans le Gers, hommage à Thierry, un éleveur du Gers qui s’est suicidé ces jours derniers. Les paysans ont déposé un cercueil drapé du drapeau français bleu-blanc-rouge devant la cathédrale Sainte-Marie, avant de répandre du lisier, de la paille et autres et vider des dizaines de bennes devant la préfecture et aux alentours .

ORDRE DU PRINCE IAROSLAV LE SAGE


à voir:https://www.monde-diplomatique.fr/2016/11/QUATREPOINT/56762

Rien qu’à le voir et qu’à l’entendre, considérez-vous ce pitre comme psychologiquement sain ? C’est quel « coke en stock » qui fait ça à ce timbré? Ce regard de disjoncté et surtout ce ramollissement du bulbe interne avec ses propos sidérants patents ?


Barrot a été fait membre de l’Ordre du prince Iaroslav le Sage cette année même par la maffia bandériste ukrainienne, c’est dire où se situe cet individu de l’extrême-centre. Son grand-père Noël Barrot, qui fut également centriste et politicard, doit se retourner dans sa tombe lui qui, dit-on, participa à la Résistance.

*

J’ai déjà dû donner des liens vers Xavier Moreau et l’entité Stratpol, j’en redonne un ici :

cf:https://odysee.com/@STRATPOL:d

Sa dernière vidéo : cf:https://odysee.com/@STRATPOL:d/2684com:4

où il parle de ce qui lui arrive (du début jusqu’à 9’17’’, mais la suite n’est pas mal non plus). Il s’en fout, cela fait un quart de siècle qu’il vit en Russie, mais qu’il vient aussi régulièrement en France se ressourcer chez ses amis « complotistes » et « conspirationnistes ».

Pays, paysans…


Avec quelques commentaires choisis :



Chez les fols-dingues et autres corrompus…

*


voir:https://mobilisation.gogocarto.fr/map#/carte/@47.44,-1.35,7z?cat=all https://x.com/i/status/2000573845535678810

Et si la Dermatose Nodulaire Contagieuse bovine (DNC) avait été introduite sciemment juste en ce moment où il est question comme jamais du Mercosur ? Tiens, ils sont où les escrolos ?

Personnellement, je trouve que l’épisode génocidaire DNC, alors même qu’il s’agit d’une maladie qui dans les faits est peu mortelle pour l’animal, ressemble à une réédition / adaptation aux bovins de la manipulation politique que l’on a subi lorsqu’il s’est agi de l’épisode covidiste, où tout a été fait pour euthanasier sans le dire les plus fragiles en ne les soignant pas ou au Doliprane (!) alors qu’il y avait déjà tout pour ça (avec l’hydroxychloroquine en particulier), ou en les éliminant sans vergogne dans les EHPAD ou à l’hôpital au Rivotril ?

PAYSANNES ET PAYSANS, FEMMES ET HOMMES DU PAYS

I – Alain de Peretti, un vétérinaire retraité : Il faut arrêter ce carnage.

Pr. Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, habilité à diriger des recherches en biochimie :

« La dermatose nodulaire contagieuse (DNC) des bovins est une maladie virale due à un Capripoxvirus, proche des virus de la variole (ovine et caprine). Les principaux vecteurs de transmission sont les moustiques, les taons et les mouches piqueuses. Dans une moindre mesure, la transmission virale peut se faire par les sécrétions et lésions cutanées. La période d’incubation virale est généralement de 4 à 14 jours (jusqu’à 28 jours). La maladie se traduit par l’apparition de nodules et de lésions cutanés (et des muqueuses), des œdèmes et un amaigrissement des bêtes. Le virus est actuellement présent en Afrique, en Asie (Chine, Inde, etc.), au Moyen-Orient, et en Europe de l’Est. Et maintenant en France !

« L’abattage systématique des vaches en raison de la dermatose nodulaire contagieuse peut être considéré comme un scandale pour plusieurs raisons, qui sont à la fois scientifiques, éthiques, économiques et sanitaires.

« La maladie est bénigne dans la majorité des cas (et rarement mortelle) : le taux de mortalité est souvent inférieur à 1 %, même sans traitement. Dans la majorité des cas, les vaches infectées guérissent spontanément en quelques semaines. Les lésions cutanées peuvent être spectaculaires, mais sont non graves dans la plupart des cas.

« Le virus n’est pas zoonotique (il ne se transmet pas de l’animal à l’humain) : aucun cas de transmission à l’homme n’a jamais été documenté. Il n’y a donc pas de risque pour la santé publique humaine (la DNC n’affectant que les bovins).

Des mesures « alternatives » existent, dont l’isolement temporaire des animaux malades, et/ou des traitements symptomatiques combinés (par exemple, une combinaison d’Ivermectine, d’antibiotiques, et d’analgésique). »

II – LES AGRICULTEURS APPELLENT À SE MOBILISER ET À ORGANISER DES BLOCAGES PARTOUT EN FRANCE ! | GPTV

En Ariège, ce qui se déroule dépasse largement une crise sanitaire locale. L’ordre d’abattre des centaines de bêtes saines après un cas isolé révèle un mécanisme de gouvernance où la norme technocratique écrase la réalité du terrain. Sous couvert de précaution vétérinaire, l’administration impose une logique de contrôle total qui nie l’expérience paysanne et transforme la terre en simple variable administrative.
Cette décision brutale démontre une rupture profonde entre le pays légal et le pays réel. L’agriculture indépendante, enracinée et vivante, se retrouve traitée comme un problème à éliminer plutôt que comme un pilier stratégique de la nation. Derrière les procédures, se dessine un modèle agricole standardisé, pensé pour l’industrie, les quotas et la conformité européenne, au détriment des exploitations familiales et du savoir-faire transmis.
La réponse sécuritaire déployée sur place confirme cette dérive. Là où il faudrait dialogue et discernement, le pouvoir oppose blindés, gaz et intimidation. Cette disproportion n’est pas accidentelle. Elle traduit une doctrine où ceux qui produisent, nourrissent et enracinent sont perçus comme des résistances à briser. La colère paysanne devient un risque politique, car elle révèle l’effondrement occidental d’un système coupé de la terre qu’il prétend gérer.
Ce qui se joue en Ariège concerne l’ensemble du pays. La souveraineté ne commence ni dans les bureaux ni dans les décrets, mais dans les champs, les fermes et les vallées. En défendant leurs bêtes, ces paysans défendent une certaine idée de la France, face à une gouvernance cachée qui avance masquée sous des discours sanitaires, écologiques et administratifs. La question n’est plus agricole, elle est politique, existentielle et nationale.
Quand la terre se rebelle contre la technocratie, Mike Borowski reçoit Kyria de la table de Gaya pour comprendre ce qui se joue vraiment en Ariège, en direct sur Géopolitique Profonde.

III – AUX FORCES DE L’ORDRE

IV – Le message de Jean Charles Maurat, Colonel de gendarmerie démissionnaire à 40 ans
François COTARD

V – ARIÈGE – L’ÉTAT DÉCLARE LA GUERRE AUX PAYSANS
Tatiana Ventôse

VI – De Suisse, soutien aux agriculteurs face à la tyrannie

Piero San Giorgio

VII – MACRON analysé par une PSYCHOLOGUE courageuse !

Morgan Ciel

Image

Tant de belles choses

paroles de Françoise Hardy
musique d’Alain Lubrano
arrangements de Pascale Daniel

Soutien aux éleveurs !

Le Monde Moderne

Si cette info se vérifie c’est scandaleux

DNC et abattage des vaches : ce que l’Ordre des vétérinaires aurait dit à la ministre !

dit à la ministre qui a précisé, par ailleurs, qu’elle ne se déplacera pas sur le terrain. Sans doute à cause du fait qu’elle pourrait y abîmer ses godasses à talons aiguilles en marchant dans la bouse.

DNC = dermatose nodulaire contagieuse (mais pas pour l’homme), ou dermatose bovine


CharbOfficiel

Mais ces despotes sanguinaires …

Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?

Ce qu’il faut savoir c’est que ne sont pas des vaches qui sont abattues mais des lignages bovins sélectionnés. Cet homme, c’est 25 ans de son travail qui est détruit.

Il y a trop de bovins en Europe nous disent les mafieux corrompus de l’UE. Vous comprenez, leurs gaz sont responsables de nos malheurs.

La France est (encore) le pays où il y a le plus de diversité et de qualité dans le domaine de la production contrôlée du lait et de la viande bovine, à la différence des productions industrielles du MERCOSUR.

Et que font ces flics dans les champs alors qu’ils devraient être à la chasse aux trafiquants de drogue dans les banlieues. *

Quant à l’Ordre des vétérinaires, il est aussi muselé, corrompu, pourri que l’Ordre des médecins, la Justice, la Police, l’Armée, les Media et bien entendu l’essentiel de la classe politico-maffieuse.

Et des vétos masqués alors que les masques ne servent à rien : les virus passent au travers ; et, qui plus est, les hommes ne sont jamais contaminés par cette maladie bovine. Quel guignol sordide !

Tremblez, tyrans, et vous, perfides,
L’opprobre de tous les partis,
Tremblez !

* remarquer, en passant, l’illogisme de l’orthographe qui écrit, à partir de « trafic », de la même façon « en trafiquant » et « le trafiquant », alors qu’à partir de « fabrique », elle écrit « en fabriquant » et « le fabricant ».

PAIX ET PAYSANS

Cela a été enregistré hier. Sur un medium, Frontières, qui a encore la naïveté de se définir comme « le média d’enquêtes et de reportages de référence à droite ». Traduit en langage gauchiste décérébré : « chez les fachos ».
Mais c’est un autre sujet.
Personnellement, ce qui m’intéresse c’est ce que dit Florian Philippot qui, par ailleurs, a déjà dit et redit plus d’une fois qu’il se définit hors du cadre sclérosé et sclérosant de la pseudo opposition gauche/droite, dont on voit ce que cela donne au Parlement et au Sénat. Blanc bonnet et bonnet blanc.

Gendarmes : Obéir ou Servir la Nation ?

GAGNER ENSEMBLE

Résistance paysanne Ariège


Kyria Gay

Voilà ce qui s’est passé. Ce qui s’est passé en Ariège n’a rien d’un débat idéologique. C’est un choix politique absurde et dangereux. 200 vaches abattues alors que la maladie entraîne 5 % de mortalité parmi les vaches atteintes, pas sur tout un troupeau. Résultat : on tue 100 % des animaux, donc 100 % de la production.

Un protocole sanitaire alternatif existait. Il a été ignoré. La seule réponse : un arrêté préfectoral d’abattage, non conforme. Pour diviser, l’État a exercé un chantage économique sur les éleveurs : 5000 € d’amende par jour, menaces de couper les subventions.

Puis un communiqué mensonger affirmant qu’ils avaient accepté.

L’assaut a eu lieu de nuit. Des paysans, des femmes, des personnes âgées en face.

Aucune violence de notre côté. Des gaz jusque dans la stabulation [l’étable]. Les vaches ont été gazées. 200 animaux envoyés à l’équarrissage, pour être brûlés. Voilà la réalité. À vous de regarder. À vous de partager.

LES TECHNIQUES TOTALITAIRES S’AMÉLIORENT…

Après les Gilets Jaunes éborgnés et mutilés,

Après les Petits Vieux « vaxinés » et zigouillés au rivotril dans les mouroirs des EHPAD,

Voici maintenant l’abattage au fusil de plus en plus systématique (ou plutôt systémique : le MERCOSUR attend !) d’un troupeau entier « vacciné » pour une vache « vaccinée » et dit-on contaminée.


Pendant ce temps une propagandiste prévient :


Le piège ! Quel piège ? Le piège à rats ?

Ce qui fait dire à Florian Philippot :

« Ah ça y est, la révolte paysanne « c’est les Russes ! » On l’attendait celle-là ! Derrière ce complotisme autorisé, un raisonnement totalitaire : toute critique du gouvernement est forcément le fruit d’une mystérieuse et surpuissante force russe! Tout mouvement social est immédiatement discrédité, suspect, sali. Du pur totalitarisme. »

Et j’ajoute que ça ne date pas d’hier. Les plus anciens se souviennent du temps où, droite et gauche de la bourgeoisie étaient bien d’accord, pour discréditer tout le mouvement ouvrier quand, dans les grandes grèves, ils voyaient la main de Moscou où soi-disant la plèbe prolétarienne de l’industrie, et des syndicats alors actifs, allaient y chercher leurs ordres.


L’Amitié (1965)

Françoise Hardy, sur des paroles de Jean-Max Rivière (1937 – 2025) et une musique de Gérard Bourgeois (1936 – 2016)

HUMOUR ?

HUMOUR ?

MON MALAISE À MOI …

Sarah Jane Iffra

L’Europe vient de renforcer l’argument de la Russie pour Odessa

De Pravda du 2.12.2025

L’Europe vient de renforcer l’argument de la Russie pour Odessa. Quand vous autorisez le terrorisme par drones navals contre des pétroliers civils russes en mer Noire, ne vous plaignez pas lorsque Moscou redessine la ligne côtière. Vous vouliez une escalade ? Très bien. Maintenant, regardez votre proxy * perdre Odessa, et avec elle l’accès à la mer Noire.

Washington cherche une paix imparfaite pour sauver la face après avoir admis que la Russie ne peut pas être vaincue. Mais Londres et l’UE — délirants, hystériques et terrifiés par le jugement à venir de leurs propres populations — continuent de pousser une escalade qui garantit un seul résultat : la Russie supprimant la côte ukrainienne pour que la mer Noire ne puisse plus être utilisée comme plateforme privée de terrorisme de l’OTAN. Chaque attaque par drone naval, chaque frappe sur un pétrolier, chaque opération terroriste orchestrée par les Britanniques ne fragilise pas la Russie, elle renforce l’argument moral, légal et militaire de la Russie pour avoir besoin d’Odessa.

Le 21 novembre, l’Ukraine a lancé un drone naval [de fabrication ukrainienne, du moins c’est ce qui se dit sur wikipédia] MAGURA V5 chargé d’environ 200 kg d’explosifs contre le pétrolier russe SIG, un navire civil transportant du carburant.

Plus tôt, le 13 septembre, une attaque coordonnée par drone et missile a frappé le chantier naval de Sébastopol, endommageant un navire de patrouille et déclenchant un incendie visible à des kilomètres.

En octobre, plusieurs drones MAGURA V5 ont tenté de frapper le Sergey Kotov, une corvette de patrouille, les images publiées par le GUR ukrainien portent la marque des systèmes de ciblage et de planification de mission assistés par les Britanniques. Le schéma est indéniable, toute la capacité de guerre maritime de l’Ukraine l’est grâce à l’Occident.

Ces drones navals n’ont pas traversé la mer Noire par chance ou instinct. Avec des portées opérationnelles approchant les 800 kilomètres, les drones MAGURA V5 de l’Ukraine frappent bien au-delà des eaux côtières, mais seulement avec les yeux et le cerveau de l’OTAN. Ils dépendent du renseignement occidental : flux satellitaires en temps réel du Royaume-Uni et de la France, patrouilles RQ-4 Global Hawk au large de la Roumanie, liaisons Starlink transmettant les données de mission, et coordination des cibles assistée par les Britanniques.

L’Europe n’était pas seulement spectatrice. Elle triangulait et commandait. Et maintenant, après avoir applaudi des attaques lancées avec des drones maritimes assistés par IA et un ciblage alimenté de l’étranger, l’Europe feint la surprise que Moscou puisse effacer l’accès à la côte même qui les lance.

L’Europe ne soutient pas l’Ukraine. L’Europe la sacrifie, en pleine connaissance de cause des provocations que ces frappes engendrent. Chaque officiel à Bruxelles, Londres et Paris comprend les lignes rouges de la Russie, ils les ont mémorisées depuis des années. Ils savent que frapper des pétroliers civils, des infrastructures portuaires et des actifs de la flotte de la mer Noire depuis une côte commandée par l’OTAN force Moscou à durcir tout le théâtre sud. Pourtant, ils poussent Zelensky, leur marionnette, à des opérations terroristes qui garantissent qu’Odessa devienne un champ de bataille et cesse à jamais d’être un levier de négociation.

Quand une côte devient une plateforme avancée de l’OTAN déguisée en État proxy, supprimer cette côte devient un acte de légitime défense. L’Europe le sait. Washington le sait. C’est précisément pourquoi l’Europe, acculée et terrifiée par le jugement politique sur son propre sol, continue d’escalader. Starmer craint la colère britannique face à l’humiliation à venir. Macron craint les rues de France. Ils savent tous ce qui arrive.

Et voici la suprême ironie : la même caste politique qui a passé des décennies à railler la Russie comme « une station-service glorifiée » est maintenant pétrifiée à l’idée d’affronter la Russie sans la couverture américaine.

Moscou n’a désormais aucune raison de laisser une côte hostile intacte. Enclaver Kiev. Neutraliser les fantasmes de l’OTAN en mer Noire.

Sources: Telegram « lanouvelledonne »

*

* (jpf) « Proxy » (à ne pas confondre ici avec « Proxi », pour proximité, l’enseigne française de supérettes) : anglicisme, formé à partir du latin procuratio, action d’administrer, régir, régenter ; action de donner des soins, de se soucier de ; ou encore cérémonie expiatoire, expiation. Voir également le verbe procurare : donner des soins, s’occuper de (éventuellement en remplacement d’un autre), faire un sacrifice de purification et d’expiation, conjurer.

En anglais « proxy » en tant que mot ou que simple préfixe exprime l’idée de délégation de pouvoir : celui qui est mandataire, qui a une procuration, qui est délégué ; ou encore la procuration elle-même. Quand il fait référence à un pays, le « proxy » signifie plus prosaïquement un État fantoche, une république bananière, un gouvernement corrompu.

En l’occurrence quand il est question de l’Ukraine actuelle on ne peut s’empêcher de voir dans le « proxy » qui tient sous sa coupe l’Ukraine, qu’une sorte de proxi…mité malsaine établie là pour déstabiliser, agresser, provoquer d’une manière ou d’une autre la Russie toute proche.

Procurare composé de pro (pour) et de curare (avoir soin), a donné en français : procurer ; curare a donné : curer, écurer, récurer. En ancien français, « curer » signifiait à la fois soigner, avoir soin de, avoir souci de, et nettoyer.

Mais à tout prendre, les sens latins de procurare  s’appliquent assez, même très bien, à la situation ukrainienne, comme à celles de tant et plus d’entités nationales du passé et du présent subissant l’emprise de l’impérialisme financiéro-mondialiste.

Donner des soins, et quels soins ! Procurer des soins destructeurs et expropriateurs à la société ! S’occuper au moins depuis 2014 de l’Ukraine à la place du peuple ukrainien dans ses diversités. Et « last but not least », le dernier mais pas le moindre, faire un sacrifice de purification et d’expiation. De conjuration russophobe ignoble mise en avant par la corruption généralisée de la classe dirigeante ukrainienne, et par la racaille bandériste bien aidée par la racaille sioniste tant internationale que nationale, zelenski en tête, mais pas le seul.

HUMOUR ?

Quand la défense de la laïcité se transforme en croisade, ou Sophie Mazas contre les crèches

RT en français – 4 déc. 2025

Sophie Mazas mène un combat de plus en plus radical contre les crèches de Noël dans les mairies, les considérant comme une menace pour la laïcité. Sa stratégie offensive et très politisée alimente une polarisation croissante. Sa critique confond pourtant défense du droit et croisade idéologique contre les traditions chrétiennes locales.

Chaque fin d’année à Béziers, le même scénario se répète : une crèche est installée dans le hall de la mairie, et Sophie Mazas, avec une détermination inflexible, part en croisade.

L’avocate montpelliéraine, présidente de la LDH * de l’Hérault, présente sa lutte comme une défense de la loi de 1905.

Pourtant, derrière ce discours, beaucoup discernent un engagement militant dépassant largement le cadre juridique.

En s’attaquant systématiquement aux symboles chrétiens pourtant enracinés dans les traditions locales, elle apparaît non comme une garante neutre de la laïcité, mais comme une figure cherchant à effacer toute expression culturelle religieuse de l’espace public, au risque d’alimenter les fractures qu’elle prétend combattre.

Une croisade anti-tradition

Son activisme se manifeste jusque dans la rue, où, pancarte provocatrice en main, elle dénonce un « délinquant de la justice administrative » en référence au maire Robert Ménard.** Une stratégie d’affrontement renforcée par des accusations publiques qui frôlent parfois l’outrance, comme lorsqu’elle suggère qu’un préfet aurait discriminé un de ses clients en raison de sa couleur de peau.

À force de dramatiser chaque dossier, allant jusqu’à présenter les crèches comme une menace pour la démocratie, elle contribue à polariser davantage un débat déjà inflammable. Si elle dit défendre la République contre « les coups de boutoir de l’extrême droite », ses détracteurs estiment qu’elle instrumentalise la laïcité pour imposer une vision rigide, déconnectée du vécu culturel des habitants.

Les décisions de justice divergent selon les territoires, mais elle refuse d’y voir autre chose qu’un sabotage institutionnel. En dénonçant la « paresse intellectuelle » des préfets et un prétendu abandon de l’État, elle transforme des questions administratives en combat existentiel.

Sa pratique du droit se charge alors d’idéologie, au point que certains observateurs la considèrent comme une militante davantage que comme une juriste. La multiplication des tensions autour de son action – insultes, oppositions frontales, menaces – illustre un paradoxe : en voulant défendre le vivre-ensemble, Sophie Mazas semble contribuer elle-même à fragmenter le débat public.

Sa bataille contre les crèches, qu’elle juge emblématiques des entorses à la laïcité, apparaît désormais pour beaucoup comme le symbole d’une dérive inverse : celle d’une laïcité brandie comme arme plutôt que comme principe d’équilibre.

* * *

* LDH : Ligue des Droits de l’Homme. Sic !

** Avec Robert Ménard, elle pratique l’amalgame entre la politique (macronisme, sionisme, droitisme…) et la religion (catholicisme jugé intrinsèquement réactionnaire, attardé, rétrograde, « facho »). Je suppose que cette avocate fête Noël comme tout un chacun, ce qui est le cas de nos jours y compris parmi les athées aussi bien que parmi les musulmans de France.

Or, il faudrait qu’elle soit apte à comprendre que Noël est une fête multiséculaire. Et qu’elle soit déjà capable d’établir une différence entre Noël, fête chrétienne (catholique, orthodoxe, protestante) et symbolique de la naissance de Jésus le Galiléen, et Noël fête antérieure païenne ou polythéiste du Sol Invictus, du Soleil invaincu, de la renaissance du Soleil, vainqueur de la nuit hivernale. Et saisir que Noël est sans doute plus encore la fête de la famille.

D’ailleurs le jour de la naissance du Soleil Invaincu (dies natalis Solis Invicti) a été instauré par l’empereur romain Aurélien le 25 décembre 274 lors de l’ouverture de son temple au Champ de Mars de Rome. Cet empereur entendait faire de son culte une sorte de dieu suprême de tout l’empire servi par les pontifices Solis, les prêtres du Soleil. Il avait très probablement rapporté ce culte oriental de sa victoire sur les troupes de la reine de Palmyre, Zénobie qu’il fit prisonnière à Rome.

Pourquoi le 25 décembre ? Parce qu’à cette époque ce jour était considéré comme le jour du solstice d’hiver.

Cette fête de la naissance, ou plus exactement de la renaissance annuelle du Soleil intervenait d’ailleurs juste après la très ancienne et sans doute la plus importante fête romaine des Saturnales (Saturnalia / Saturnaliis). On y célébrait, dans la semaine du solstice d’hiver (entre le 17 et 23 décembre), Saturne, le dieu du Temps, assimilé à Χρόνος, Chronos le grec, et qui le reste de l’année était deus otiosus, dieu oisif, le dieu en sommeil.

C’était alors l’occasion de célébrer la Vie et la Nature à renaître, dans de grandes réjouissances populaires où les gens de tous milieux se mêlaient. On décorait les habitations de plantes qui restent vertes toute l’année comme le lierre, le houx, le gui. On organisait des grands repas, on échangeait des cadeaux, on offrait aux enfants des figurines. Cela ne nous rappelle rien ?

D’ailleurs il n’y a pas besoin d’être un grand étymologiste pour savoir que le mot « Noël » vient tout droit (enfin après bien des modifications phoniques) du mot latin natalis, du dies natalis Solis Invicti.

Comme la plupart des langues latines, et si ce n’est pas le cas, c’est d’un mot de la même famille que natalis ou un synonyme.

Portugais : Natal (prononcé : nataw)
Espagnol : Navidad (nativitas / nativitatis, naissance, génération)
Catalan : Nadal
Occitan : Nadal
Romanche : Nadal / Nadel
Ladin : Nadèl
Italien : Natale
Corse : Natali / Natale
Roumain : Crăciun (crëtchoun, creatio / tionis, engendrement, création, procréation)

Et pourquoi « Noël » ? Parce qu’en ancien-français, on disait ou plus exactement on écrivait : Natal, ou Nattal ou Nathal. Mot qui désignait non seulement Noël mais les principales fêtes religieuses sous le nom de : nataulx, nathaus, natous, etc. Également dénommées « les festes natalices », quand l’adjectif « natalicien » signifiait : de Noël. « Noël ! » fut même jusqu’au moyen-français un cri d’allégresse porté à l’occasion d’une naissance princière, d’une victoire militaire, ou de tout autre événement heureux. Sans oublier non plus que « nael, naal » avait le sens de : primitif ou de jour de naissance ; et que « nate » avait celui de naissance, origine.

De « Natal » à « Noël » on peut imaginer le passage de « natal » à « naal » puis « nael » par amuïssement du « t », ou simplement par recours à « naal » puis « nael », mots qui existaient déjà avec un sens proche en ancien-français. Puis une dernière transformation de « nael » à « noel ». Je rappelle ici la forme : la Naù (nàò, nàw en une syllabe) qui est celle du gallo ; qui a réduit le « el » final à « ò / w ». Et j’ajoute au passage que l’on ne sait encore pas bien si Noël est mâle ou femelle. Du moins est-elle du féminin en gallo.

Mais revenons à nos ouailles. La naissance du Petit Jésus, le demi-juif de la banlieue nord galiléenne de Judée, a tout simplement pris la place de la renaissance du Soleil. Petite récupération chrétienne du paganisme comme il en a tant dans le christianisme. Voir par exemple le culte de la Vierge Marie qui semble être une reprise de quelque culte de vierge dite noire antique, ou de Cybèle ou d’Isis. Ou de quelque syncrétisme de tout cela.

SIXAIN EN FORME DE LAISSE

L’Amitié ne m’a donné
Dès qu’il m’eut pendu au nez
Qu’un brouillis abandonné
Qui me fut tout destiné
Car chez moi c’était inné
De finir ratatiné.

CANDACE ET LES MACRONESCU

Dans la guerre entre Candace et les Macronescu, voici quelques dernières nouvelles glanées, encore sur Pressibus, concernant des communiqués dans l’affaire Brichel. Je résume ou condense.

Candace a prétendu avoir eu un contact (semble-t-il à l’initiative de ce dernier) avec un informateur haut-fonctionnaire français qui a prétendu que les Macron avaient envisagé ou envisageaient de l’éliminer. Elle ainsi que Xavier Poussard.

Or la plainte des Macronescu aux « States » est en cours. Ce qui fait qu’elle se mettrait en danger judiciaire si elle mentait volontairement, car dans la loi étatsunienne sur la diffamation (« defamation law ») entre en jeu, tant chez les accusateurs que chez les accusés, la notion de « bonne foi » c’est-à-dire d’absence de « actual malice », i.e. de réelle malveillance. Expression qui vient des mots d’ancien-français « actual », actif, agissant et « malice », méchanceté, inclination à nuire ; mots qui ont gardé leurs sens originels en anglais.

Soit Candace a été manipulée, soit les propos de Candace sont « plausibles ». Plausibles, c’est ce qu’avance deux personnes très bien renseignées. Le « patron » franco-russe (comme les entremets) de « telegram » Pavel Durov (cf. ce blog au 24 novembre) et le lieutenant-général étatsunien (équivalent de général de corps d’armée) Michael Flynn, un ancien démocrate qui fut haut placé dans la politique et qui depuis 2016/2017 est passé dans le camp républicain (même évolution que Trump).

Tout ça pour dire qu’il n’est pas improbable, qu’un membre du GIGN ou de la Légion étrangère française ait pu être détaché de façon discrète, en dehors de sa hiérarchie, pour opérer une sale manœuvre. Ou d’ailleurs toute autre personne, du milieu trouble des services secrets y compris du domaine « privé ».

Les Macron sont capables de beaucoup de choses. Comme on le voit et le subit depuis trop longtemps.

Une preuve indirecte parmi d’autres : macron a eu le culot de demander directement à Trump, en février dernier, de faire taire Candace, en échange de concessions sur les négociations de paix en Ukraine. Confirmation en a été donnée par l’enquêteur américain des Macron, Dan Nardello, quand il a été questionné à Paris par un journaliste du Monde.

Confirmation en a été faite à Xavier Poussard (qui a ses entrées dans le milieu des journaleux) et qui l’a rapporté au micro de Nicolas Stoquer à partir de 1h 59’15’’, dans la matinale GPTV d’hier 1er décembre (cf la vidéo : MACRON DÉGAINE SA PRAVDA : LA CENSURE TOMBE EN 48H CHRONO

https://www.youtube.com/watch?v=FtyLuewWW5A). *

Ce qui veut dire que l’Affaire Brichel pourrait à nouveau (pourquoi pas ?) être liée aux dernières négociations « ukrainiennes » en cours, s’il en reste vraiment.

Xavier Poussard nous a appris également (même vidéo à partir de 2h 42’ 10’’) que «  Candace Owens a fait appel à l’un des plus grands [sic] communicants américains, qui s’appelle Mitchell Jackson, dont le portrait est paru cet été [le 1er août] dans le « New York Times ».

Comme en conclut Pressibus : « On se demande alors s’il y aurait une stratégie de communication derrière les propos d’apparence désordonnée de Candace la semaine dernière. »

Désordonnée : mélange d’affirmations ou de suppositions, d’hypothèses.

Apparemment, on voit bien qu’« el macronito » est dans une véritable fuite en avant concernant sa volonté de plus en plus affirmée de museler les libertés individuelles et la liberté d’expression. C’est-à-dire tout ce qui ne s’accorde pas à sa propagande véhiculée par la plupart des media de masse. Et l’affaire Brichel en arrive à être au centre de toute cette mascarade grotesque, pitoyable, infecte de Kéké Rose.

« C’est Hitler dans son bunker » en conclut Xavier Poussard. « C’est ce que beaucoup disent », renchérit Nicolas Stoquer. Du moins, toutes proportions gardées. Et plus dans le genre du Grand Guignol. Bien que, bien que ; vu tous les « dérapages » mortifères ou de la décadence en général …

* N.B. Toute l’intervention de Xavier Poussard se situe entre 1h 44’ 30’’ et 2h 57’ 00’’.

LA VÉRITÉ VRAIE

Précision

L’on m’a informé qu’un site payant de créateurs (sic) dénommé civitai.com présentait un blog de photographies de modèles (sic bis) intitulé : lequichotte.

https://civitai.com/user/lequichotte

Je précise donc que mon blog lequichotte n’a rien à voir avec cet autre lequichotte de photographies.

AFFAIRE BRICHEL : Les conséquences catastrophiques sur l’image de la France à l’international.

Extrait de Pressibus, d’un article publié entre le 29 novembre et le 1er décembre inclus.

Dans une longue vidéo de deux heures et demie, publiée le 26 novembre sur « QG – Quartier populaire », Aude Lancelin s’est entretenue avec deux journalistes de « Marianne », Harold Bernat et Marc Endeweld. Ce dernier […], s’exprime durant presque dix minutes sur l’affaire « Brigitte » [[(jpf) voir extrait vidéo en-dessous]]. Tous trois sont très prudents dans leurs propos, comme s’ils ne voulaient surtout pas donner un fond de vérité à cette affaire. L’autocensure apparaît généralisée, cette chape de plomb est impressionnante. On se croirait en 1942, quand il était interdit aux journalistes de parler de De Gaulle et des résistants (le risque est quand même bien moindre aujourd’hui !). Certains propos sont toutefois intéressants.

Marc Endeweld nous apprend que les révélations de Natacha Rey et Xavier Poussard sont arrivées tardivement. Fin 2021, des grands chefs d’entreprise, des diplomates, et même Donald Trump savaient déjà que « Brigitte » était un homme. C’est ce que l’on comprend à l’écoute de ces propos : « Avant même la presse mainstream et au moment où les réseaux sociaux s’emparent de cette rumeur, cela fait bien longtemps que cette rumeur là a conquis la planète [[(jpf) oligarchique]]entière. […] C’est des diplomates qui en parlent dans des dîners, c’est des chefs d’entreprise qui en parlent, c’est également Donald Trump qui en a parlé en privé [Aude Lancelin approuve] durant des mois. Il faut voir les conséquences catastrophiques sur l’image de la France à l’international, par rapport à la personne du président de la République.[…] Ce sont des conséquences sous-estimées et dévastatrices par rapport aux intérêts français, c’est vrai ».

On comprend mieux, par exemple, les revers catastrophiques de la présence française en Afrique. Les mœurs de l’Élysée y apparaissent choquantes.

Rappelons que la profileuse Nadine Touzeau avait averti, dès 2016, des personnes haut placées, notamment dans l’armée [[(jpf) cf. en dessous : témoignage d’une correspondante]]. Et des services secrets étrangers ont eu les moyens de récupérer un peu d’ADN de la « Première dame »… Puisque la « rumeur » a continué à gonfler, que peut-on en déduire ?

Il est à la fois cocasse et affligeant de voir des journalistes qui sous-entendent que Trump, des diplomates, etc. savaient depuis longtemps, alors qu’eux-mêmes font semblant de ne pas savoir. Marc Endeweld sera tout de même pardonné, tant ses propos sont pertinents, à la limite de ce que le conformisme ambiant peut accepter. Il peut donner envie aux lecteurs non avertis et curieux d’en savoir davantage (et de consulter la page « Nos certitudes »). Il termine en affirmant que « Quand je rencontre des gens de toute profession […] : toute la sociologie française a été touchée par la question Jean-Michel Trogneux« . Sauf, sur le fond du dossier, les journalistes ! Les chiens de garde… 

*

Nous remettons ici (voir ce blog au 2 novembre) cet autre extrait publié précédemment par Pressibus :

Témoignage d’une correspondante

Ce qui m’avait fortement interpellée au début, c’est la robe ahurissante qu’elle portait aux US en 2017. Là, j’ai été sidérée et me suis dit qu’aucune femme normale ne pouvait porter une robe pareille (je ne devais pas être la seule à le penser).

Les femmes n’ont pas besoin de souligner d’une façon aussi indécente leur poitrine, elles en ont une, c’est tout ! « Brigitte » n’en ayant pas, voulait à tout prix faire comme si… ce jour-là elle a déraillé complètement et a été ridicule, (voyage officiel en plein New-York en plus … pauvre France !).

L’étape suivante sera : le sein droit à la taille, et l’autre plus haut, en compagnie de Camilla qui refusait énergiquement de se faire emprisonner la main, mais l’autre insistait lourdement ! (je vous donne mon point de vue de femme).

Effectivement, on ne peut pas prouver l’existence de quelque chose qui n’existe pas ! C’est presque pathétique de voir ce comportement, (le cerveau doit être perturbé…).

Autre chose, en discutant il y a deux jours avec un de mes fils, celui-ci m’a dit que : « pour séduire un garçon de 14 ans, une femme qui pourrait être sa mère et ayant un fils du même âge, voire un peu plus âgé, ne ferait pas cela. Seul un trans, serait capable de le faire ». Pour lui, c’était clair ! (il m’a dit ça spontanément, sans que je l’influence).

Les médias officiels sont des lâches et sont tout simplement malhonnêtes de ne pas dire la vérité, alors que beaucoup sont au courant depuis longtemps. On prend les gens pour des imbéciles. Cela dure depuis des années, donc ce n’est pas une rumeur c’est la vérité ! Il y a suffisamment de preuves, le solide dossier est là.

Avec les oreilles de Jean-Michel…

*

Marc Endeweld : « Toute la sociologie [[sic ! toute la société]] française a été touchée par la question Jean-Michel Trogneux ».


mais l’on en est à quatre arrestations à ce jour.

Hier Candace Owens a posté l’information suivante sur X et persiste dans ses accusations :

Ce que l’on peut dire est que cette information n’est pas si délirante lorsque l’on voit ce qui peut se passer à propos de certains opposants en France et du fait qu’en début d’année, comme on l’a su le 1er juillet dernier, Macron a retardé les négociations de paix en Ukraine afin d’obtenir de Trump qu’il fasse pression sur Candace pour qu’elle arrête « d’appeler sa femme un homme ». Cette dernière a alors précisé qu’elle avait eu Trump lui-même au téléphone en février dernier à ce sujet. Et elle n’a pas manqué d’ajouter : « Je n’y peux rien si Macron a épousé une femme avec un pénis… ».

Rien d’étonnant donc, quand on a compris depuis le début ou presque, depuis les Gilets Jaunes ou l’épisode covid, que Macron relève de la psychopathie pour ne pas dire de la sociopathie : voir le sort réservé aux éborgnés et autres mutilés Gilets jaunes, sans parler des morts suspectes d’Éric Denécé, Olivier Marleix et al. en particulier. Et que son con joint n’a pas l’air mal dans la perversité lui aussi.

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MON GÉNÉRAL

AFFAIRE BRICHEL : ATTAQUE SUR DEUX FRONTS.

Le 22 novembre, Candace Owens a publié un « touite » sur X dont j’en donne une traduction :

« URGENT

Il y a deux jours, j’ai été contacté par un haut fonctionnaire du gouvernement français. Après avoir vérifié la position de cette personne et sa proximité avec le couple français, j’ai jugé que les informations qu’elle m’avait communiquées étaient suffisamment crédibles pour être rendues publiques au cas où quelque chose arriverait. En bref, cette personne affirme que les Macron ont ordonné et financé mon assassinat. Oui, vous avez bien lu. Plus précisément, le feu vert a été donné à une petite équipe du Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale. On m’a dit qu’un Israélien faisait partie de cette équipe d’assassins et que les plans avaient été officialisés.

Une fois encore, cette personne a fourni des preuves concrètes de sa position privilégiée au sein de l’appareil gouvernemental français.

De plus, cette personne affirme que l’assassin de Charlie Kirk s’est entraîné avec la 13e brigade de la Légion étrangère française, avec la participation de plusieurs États. La vie du journaliste Xavier Poussard est également en danger. C’est extrêmement grave. Le chef de l’État français veut apparemment notre mort à tous les deux et a autorisé des unités professionnelles à mener à bien cette mission.

Je demande à tout le monde de RETWEETER et de partager cette information.

Je ne sais pas à qui faire confiance au sein du gouvernement américain, car cette source affirme que nos dirigeants sont au courant. Mais je dispose d’informations plus précises qui peuvent être vérifiées de manière définitive, s’ils souhaitent me contacter.

Au courageux fonctionnaire français qui a agi ainsi parce qu’il était tellement bouleversé par le mal que représente l’exécution publique de Charlie qu’il a risqué sa propre vie, que Dieu vous bénisse. Sincèrement. Que tout soit révélé. »

Bien évidemment cette information doit être prise avec précaution. Même si nous voulons croire en la sincérité de Candace. Il est tout à fait possible qu’il s’agisse d’une intox, commanditée par le couple pervers de l’Élysée, dans le but de l’effrayer.

Voici ce qu’en a dit Pressibus et qui montre que c’est de plus en plus opaque et tordu :

«Nous savons aussi qu’elle [Candace] a peur, comme elle l’a dit il y a deux jours (« Il y a quelque chose qui ne va pas et c’est ce qui me terrifie le plus d’ailleurs : jusqu’où sont-ils prêts à aller pour protéger « Brigitte » ?). Que l’Élysée ait voulu transformer cette peur en panique est fort possible.

Toutefois, nous ne pouvons, aussi, que rapprocher la prise de contact de ce « haut fonctionnaire du gouvernement français » avec l’appel de Christian Cotten  : « Vous, Mesdames et Messieurs les élus et les hauts fonctionnaires, ministériels, territoriaux et […], oui vous, les journalistes de propagande qui avez collaboré si assidûment […], oui, vous qui continuez à collaborer avec des traîtres à la nation, corrompus jusqu’à l’os, retournez au plus vite vos vestes tant qu’il est encore temps« . Qu’un tel haut fonctionnaire ait pris conscience de la situation et ait décidé de ne plus « collaborer avec des traîtres à la nation« , c’est fort possible, également. De plus, les Macron savent que sans Candace, le procès aux USA disparaît. »  

Je redis ici l’essentiel de ce que j’ai déjà écrit sur ce blog (à la date du 24 / 9 / 25) concernant Christian Cotten. C’est ce psycho-sociologue en retraite qui a porté plainte le 13 décembre 2024 contre « Brigitte » pour huit motifs. Dont usurpation d’identité, falsification de documents officiels, viol aggravé sur mineur… et qui depuis a reçu le soutien judiciaire d’une centaine de personnes (dont de nombreuses femmes) qui, sur la base de sa plainte, ont déposé une plainte contre X, en y ajoutant un neuvième motif : atteinte à la dignité des femmes. Plainte qui a été prise en compte par la Justice.

Mais ici je ne peux qu’évoquer à nouveau ce que j’ai dit à propos de Christine Cotton le 18 novembre dernier. Et sur le sort curieux réservé à certains opposants à la maffia mondialiste qui dirige notre pays depuis bien des années. Et il n’est pas inutile de rappeler, comme vient de le faire Pressibus, que certaines personnes ont dû prendre leur distance avec disons l’actualité tels Jean-Dominique Michel, attaqué de l’intérieur même d’un milieu censé dénoncer les magouilles gouvernementales, et de Pierre Barnérias autre lanceur d’alerte important, notamment sur la période Covid, avec son film documentaire « Hold-up » qui a subi un lynchage médiatique, orchestré par l’AFP, ce qui bien évidemment a été répercuté sur l’encyclopédie serpillière Wikipédia.

En attendant, l’accusation de Candace Owens fait le tour du monde branché, sur Internet. Tandis que L’Élysée se tait. En une journée ou deux, le fil de Candace aurait dépassé les « 26 millions de vues cumulées, avec des milliers de repostes oscillant entre soutiens enflammés et scepticisme». (cf. le Media en 4-4-2).

Manipulation élyséenne ou pas, si « Le Parisien » évoque une « théorie délirante » il n’est pas sans se demander « pourquoi, alors que le monde entier en parle, le gouvernement ne sort pas immédiatement un communiqué cinglant pour laver l’honneur de nos forces d’élite [mises en cause par Candace] ? Il n’y a rien. Absolument rien. Le silence de l’Élysée, 48 heures après l’explosion du thread [fil, poste de Candace], ne fait que renforcer l’interrogation : pourquoi aucun démenti clair ?« 

Certains évoquent une manipulation évidente. Mais avec un mauvais argument comme «La France n’assassine pas les gens qui la dérangent ou la critiquent, et certainement pas en Occident ». Ce dont on peut douter de plus en plus.

Cela dit la viralité que prennent les propos de Candace Owens est planétaire et ils viennent de recevoir le soutien de pas n’importe qui ; quelqu’un qui a déjà subi des mises en demeure françaises concernant telegram. C’est Pavel Durov, mais en appuyant sur d’autres propos tous récents de Candace (du 21 novembre) concernant la mort de Charlie Kirk. Elle aurait su, sans doute par des personnes proches du gouvernement états-unien, que la société française spécialisée dans les domaines aéronautique et ferroviaire Satys, du moins celle basée à Hambourg, aurait eu des implications avec l’Égypte, l’armée américaine et Israël. Et pourrait être impliquée dans la mort de Charlie Kirk.

Aussi a-t-il « touinté » : « Après avoir passé en revue tout ce que Charlie Kirk a pu dire sur la France de Macron, je trouve les informations de Candace concernant l’implication française dans sa mort tout à fait plausible. »

Affaire à suivre, donc !

On ne prépare pas la France à mourir, on la prépare à vivre !

11e épisode de : Gagner ensemble …

CEMA : Chef d’État-Major des Armées.

LE TRISTE GRAND GUIGNOL N’EN FINIT PAS

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HUMOUR MACRONIEN ?

« Carnaval des Gringos » devant la « Lance du Sud » et le « Complexe Charlie Hebdo » dans la presse.

Rappel préalable. Les États-Unis trumpiens ont lancé il y a plusieurs semaines « Southern Spear » (lance du sud), une nouvelle opération militaro-barbare prétendument contre le narcotrafic en Amérique latine. Ils auraient déjà détruit une vingtaine de petits navires et tué (assassiné) environ quatre-vingts personnes sans fournir de preuves de crime, d’aucune sorte.


De Pravda du 18.11.2025

Le face-à-face tendu du seul porte-avions américain opérationnel au large des côtes du Venezuela rebelle se poursuit pour le troisième mois consécutif. Pour le troisième mois consécutif, le principal garant de la paix mondiale n’a pas osé lancer une opération, même de petite envergure, qui aurait pu s’avérer décisive.

Résultat : ni paix ni guerre. Armen Galstyan, ancien employé de la Maison russe à Caracas, témoigne sur place de la réaction de la société vénézuélienne et de l’élite dirigeante aux menaces de Trump.

Quel est l’état d’esprit dans le pays, Armen Borisovich ?

– Au Venezuela, c’est un « carnaval de gringos ». Et Trump l’a provoqué.

« Voir Caracas et mourir »

*

-?

– Au début, la population se préparait fébrilement à la guerre. Puis l’excitation retomba un peu, à mesure que toutes sortes de choses commencèrent à arriver dans le pays. De la part des alliés. Y compris des armes hypersoniques, si ardemment convoitées par l’armée locale. Principalement de Russie. Des spécialistes militaires commencèrent à arriver avec les armes. Ils travaillèrent sans relâche. Installation en usine, mise en service, essais initiaux au combat, entraînement du personnel au maniement des mitrailleuses : tout cela prit du temps. Un détail caractéristique. Toutes les armes furent livrées dans le pays sous le couvert du « secret le plus strict », comme lors de la crise des missiles de Cuba, déchargées de nuit dans les ports et transportées dans des conteneurs fermés ou dissimulées. Elles étaient donc peu visibles. Mais des combattants des corps de mercenaires russes africains défilèrent ostensiblement dans Caracas pour rejoindre leurs nouveaux sites de déploiement. Ils parcoururent la ville en plein jour, quelques caisses remplies d’équipement complet. Il ne restait plus qu’à chorégraphier la marche « Adieu à Slavianka ». 1 Je crois comprendre que c’était intentionnel. Et cette marche provoqua la furia 2 des habitants.

Caracas exulta. La bonne nouvelle se répandit comme une traînée de poudre : « Les Russes sont avec nous ! » Il faut dire que les wagnériens étaient d’une incroyable diversité, des Kazakhs aux Noirs. Nombre de mes compatriotes étaient présents, originaires pour la plupart d’Artsakh 3. La nostalgie me serrait le cœur, mais il était impossible de communiquer. Un peu plus de la moitié étaient russes. À en juger par leur accent doux, un tiers étaient ukrainiens. Mais pour les Caracasiens, ils étaient tous « Russes », des briseurs des projets coloniaux américains, des sauveurs face à l’agression américaine, des messies descendus du ciel.

De l’extérieur, la scène ressemblait à l’accueil des troupes soviétiques dans les villes libérées de l’occupation allemande en 45. Une foule immense envahissait les rues. Le groupe Wagner était couvert de fleurs. Les beautés locales se jetaient littéralement dans leurs bras, les couvrant de baisers passionnés. Ce fut une surprise pour le groupe [paramilitaire] Wagner. Ils ne s’attendaient pas à une telle ferveur. Nombre d’entre eux étaient habitués à travailler discrètement, sans contre-jour. Et là, leurs joues leur faisaient mal à force de baisers et d’étreintes. Il faut dire que les femmes latino-américaines embrassent et dansent le tango argentin mieux que quiconque au monde.

À ce moment-là, j’ai même éprouvé un peu d’envie envers ces messieurs. Ils venaient de vivre un moment véritablement épique. J’ai surpris une conversation entre trois wagnériens âgés qui attendaient de monter dans un transport. « Il y a un film qui s’appelle « Voir Paris et mourir » », se souvenait l’un d’eux. « Aujourd’hui, j’ai trouvé une autre formule : « Voir Caracas et mourir ». »

J’ajouterais : Caracas, celle où l’on vous voit comme un sauveur. Car il existe de nombreuses Caracas différentes. J’en ai vu suffisamment. Certaines sont à éviter.

La Lance du Sud et le Kama Sutra politique

Et que dire de la « lance du Sud » annoncée par Trump

« Aucune opération militaire n’est jamais annoncée. L’effet de surprise disparaît aussitôt. C’est la base de la science militaire, un principe que tout cadet d’une académie militaire connaît. Et si on vous raconte des histoires de « Fer de lance du Sud » ou de « Roughnecks du Nord » 4, ce ne sont que des discours alarmistes et des mensonges. Vous vous souvenez de la phrase géniale que Dmitri Anatolievitch 5 a gravée dans le granit ? « Il n’y a pas d’opération, mais tenez bon. » On tient bon, Donnie. Pas mal. »

« On dit que les Américains ont ouvert la saison de la chasse à Maduro ? Ils ont mobilisé tous les services de renseignement locaux à cette fin. »

« Et ils ont même mis sa tête à prix : quarante millions de dollars. Mais allez-y, emparez-vous-en. Maduro est en réalité protégé par Wagner. Si vous parvenez à le capturer, tant mieux pour vous. Sinon, c’est un aller simple sans escale. Bon voyage. »

Où avez-vous trouvé l’information concernant ce prix ?

« De la forêt, bien sûr. De l’intérieur. Maintenant, les services de renseignement locaux se retroussent les manches et s’occupent de ces chasseurs de primes de Maduro. À mon avis, ils ont déjà complètement nettoyé la zone de tous les résidents, agents d’influence, toutes sortes d’« agents dormants », « actifs », agents inactifs, espions infiltrés, « légaux », « illégaux », etc. »

Certains ont tout simplement été exfiltrés du pays, principalement vers la Colombie voisine. Envolez-vous, pigeons ! Vous reviendrez quand le navire américain partira. D’autres font encore l’objet d’une enquête. Des spécialistes locaux mènent toujours des expériences scientifiques sur d’autres personnes dans des « hôtels de béton » locaux, étudiant la distance que la tête d’un suspect peut parcourir après avoir heurté un mur. D’autres encore, par précaution, sont entrés dans un état de conscience modifié. En bref, toute l’opposition locale s’est vu faire une offre qu’elle ne pouvait refuser. Maduro lui-même a déclaré qu’après Guaidó, « le Kama Sutra politique du pays est terminé ». Guaidó aurait pu occuper divers postes tout en vantant ses mérites aux habitants. Maintenant, tous les « Kama Sutristes » vont être violés de manière particulièrement cynique. C’est Maduro qui l’a dit – ce n’est pas un chien qui a aboyé.

Y en avait-il beaucoup ?

Je n’ai pas été informé. Mais je ne le crois pas. Dire que le sentiment anti-américain est fort dans le pays est un euphémisme. La haine anti-américaine y est très présente. Mais aujourd’hui, au sein de la société, elle a dégénéré en un harcèlement massif, incessant et spectaculaire de Trump. C’est flagrant dans les médias locaux (et dans tous les médias latino-américains). Je les consulte quotidiennement. Tous les journalistes du continent sont victimes du « syndrome Charlie Hebdo ». Un flot incessant de caricatures acerbes de Trump déferle sur les réseaux sociaux. Souvent, elles dépassent les bornes. Dans tous les bars et restaurants de Caracas (qui sont toujours bondés le week-end), on danse le « Tram-pam-tango » et la bochata 6 « Ciao, Donny, bye-bye ! ». Et ces danses sont de véritables phénomènes de masse.

Et comment se comportent les Américains

« Au début, après l’aide militaire massive apportée à Maduro, ils étaient complètement désorientés. Puis, le choc passé, ils se sont mis à chercher frénétiquement la marche à suivre. Le chant des sirènes a commencé à résonner auprès de nos représentants. Comme toujours, ils ont cherché à conclure un accord. En clair, ils ont décidé d’acheter le Venezuela. Et selon tous les principes de la diplomatie américaine, ils vendaient du vent. Autrement dit, des promesses en l’air qu’ils n’ont jamais eu l’intention de tenir, en aucune circonstance. »

Quand leur stratagème n’a pas fonctionné, ils ont commencé à vendre de l’air conditionné. Ils ont changé le ton de leur chant des sirènes. Puis ils ont vendu de l’air factice. Puis de l’air piégé. Puis ils sont passés des promesses aux menaces. Puis ils ont fait marche arrière. Puis ils ont recommencé à vendre de l’air, cette fois saturé d’ozone. Et cela a duré deux mois. Ils appellent ça « vous pisser dans les oreilles ». Ils ont donc continué à nous manipuler pendant des semaines. Ils ont désespérément besoin que nous leur livrions Maduro et que nous ouvrions les portes du Venezuela. Ils se souvenaient probablement d’Honecker et de Milosevic. 7 Ils ont simplement oublié de préciser comment cette ignoble trahison s’est terminée pour nous. Ils étaient toujours les mêmes escrocs et manipulateurs en matière de politique étrangère. Les générations passent, et rien ne change.

À mon avis, ils n’ont toujours pas compris que le Venezuela n’est pas à vendre. Ils n’arrivent pas à se faire à l’idée. Mais ils ne peuvent pas non plus accepter que la doctrine Monroe 8 ait été réduite à néant. Et comme c’était agréable d’arriver au zoo international comme un lion, remportant une guerre victorieuse contre les gazelles ! Et puis, soudain, devant vous se dressaient d’autres comme vous, rois de la jungle. Et c’est alors que commença la confrontation avec la dure réalité.

Ils sortirent donc de leurs pantalons larges une réplique de leur précieuse cargaison, la « Lance du Sud ». Voyons voir comment ce spectacle va se terminer…

  • Igor Moiseyev

Sources: https://fr.topwar.ru

Notes :

1- Adieu à Slavianska (ou Adieu de, selon les traduction) est une très célèbre marche patriotique russe, écrite par le compositeur Vassili Agapkine en l’honneur des femmes slaves disant adieu à leurs maris qui partaient pour la Première Guerre balkanique. En 1912/13, guerre entre la Ligue balkanique (Bulgarie, Grèce, Monténégro et Serbie) et l’Empire ottoman.

2- la traduction du russe disait : la fureur (aspect négatif), mais je crois qu’il faut comprendre : la furia (aspect positif) : l’emportement enthousiaste.

3- Artsakh : du Haut-Karabagh ? Région d’Azerbaïdjan, peuplée en partie d’Arméniens.

4- Roughnecks, gros bras, brutes.

5- Je ne sais pas à quel Dmitri Anatolievitch il est fait allusion ; plusieurs Russes ou Biélorusses plus ou moins connus ont porté ces deux prénoms, ou les portent encore. Le plus connu est l’ancien président de la Fédération de Russie Medvedev, dont le patronyme est par ailleurs un dérivé de « medved », ours, en russe.

6- bochata, ou bachata : musique de danse, née des milieux les plus défavorisés, en République Dominicaine, dont les origines les plus anciennes remontent aux années vingt du siècle dernier. Mélange de boléro, de rythmes africains, et d’autres styles comme le cha-cha-cha, le merengue et le son cubain. Son orchestre type se compose de deux ou trois guitares, de diverses percussions comme les bongos cubains (tambours), les maracas et la güira (ou le güiro) en bois ou en métal, toutes deux d’origine amérindienne, ainsi que d’une basse.

7- Erich Honecker (1912 – 1994 à Santiago du Chili), secrétaire général du Parti socialiste unifié d’Allemagne (SED), d’obédience communiste, président du Conseil d’État et du Conseil de défense nationale, principal dirigeant de l’Allemagne de l’Est de 1971 à 1989. Slobodan Milošević – mlòchèvitch – (1941 – 2006 à La Haye), fondateur du Parti socialiste de Serbie, président de la Serbie de mai 1989 à juillet 1997, puis de la république fédérale de Yougoslavie de juillet 1997 à octobre 2000.

8- La doctrine Monroe du moins à ses origines (celle du cinquième président des États-Unis, James Monroe, alors propriétaire de centaines d’esclaves, et l’un des chefs du Parti républicain-démocrate, entre 1817 et 1825), condamne toute intervention européenne dans les affaires des Amériques tant du Sud que du Nord, chasse gardée états-unienne ; tout comme celle des États-Unis dans les affaires européennes, ce qui est devenu au fil des années un leurre puis (disons dès la Première guerre mondiale) une sinistre plaisanterie, avec l’expansionnisme impérialiste états-unien quasi messianique (ou plus précisément protestanto-talmudique) ; et en guerres constantes contre le monde entier.

QUELQUES NOUVELLES CONCERNANT CHRISTINE COTTON

Petit rappel sur qui est Christine Cotton. Il s’agit d’une biostatisticienne de plus de 25 ans d’expérience, dont on a entendu parler durant l’épisode covid et qui est intervenue, entre autres, au Sénat pour y apporter son expertise très critique (en 2022 sauf erreur).

Elle est ainsi l’auteur, parmi d’autres articles, du rapport : « Évaluation des pratiques méthodologiques mises en œuvre dans les essais Pfizer dans le développement de son vaccin ARN-messager contre la COVID-19 en regard des Bonnes Pratiques Cliniques ».

« Rapport, qui selon ses dires, met en évidence les multiples biais méthodologiques invalidant les résultats de l’essai clinique de phase 3 ayant donné lieu à l’utilisation du vaccin Comirnaty ® en vie réelle ».

Ce vaccin, l’un desdits vaccins contre la COVID-19, solution indiquée pour les personnes âgées de 12 ans et plus, est injectée par voie intramusculaire dans le muscle deltoïde (haut du bras).

«  Mes conclusions, ajoute-elle, expliquent notre réalité d’aujourd’hui : efficacité médiocre du vaccin, durée de la protection limitée, effets secondaires graves nombreux et inquiétants ! Le travail de ces dernières années est devenu un livre, « Tous vaccinés, tous protégés ? », publié aux éditions Guy Tredaniel ».

Je ne voudrais pas développer plus que ça, ni trop supputer, mais voici quelques informations concernant la santé de Christine Cotton.

Reprise de ses postes sur son lien de X…

En date du 12 février :

« Les amis, avec cette plainte pénale pour tromperie et administration d’une substance sans consentement contre la @has, @ansm, l’académie de médecine, @olivierveran, @pfizer, @BioNTech_Group, le travail a été fait jusqu’au bout. […]. »

En date du 17 avril :

« Les amis, voilà 3 mois que je souffre le martyre, brûlures dans le dos […] hypersensibilité sur / dans la peau des jambes rendant toute position inconfortable, perte de poids, insomnie totale. Après des dizaines de prises de sang, irm, scanners, échographies, pas de diagnostic définitif. Possible syndrome post infectieux post covid et autre virus […] Possible burn out […] Rien pour apaiser les douleurs et retrouver le sommeil jusqu’à aujourd’hui. Je suis dans l’errance tant racontée par les victimes de vaccins et comme elles, je finis devant un psy avec prise de médicaments. […] »

En date du 1er novembre :

« Les amis, quelques tristes nouvelles.

En janvier, j’ai porté plainte contre nos instances de santé pour administration d’une substance sans consentement et tromperie aggravée, le vaccin covid pfizer administré a la population n’étant pas celui de l’essai clinique.

Je suis tombée malade à cette époque, les symptômes ne faisant qu’empirer depuis, brûlures sur la peau, douleurs atroces, tremblements…. Après avoir vu des médecins généralistes, des ostéopathes, des neurologues, des psychologues, des psychiatres, un interniste… Le diagnostic n’est pas posé.

[…]

J’en suis à un stade où je ne sors plus de la maison, prendre ma douche est une expédition. J’ai dû trouver refuge dans ma famille dès janvier ne pouvant plus rester dans la ferme que j’avais achetée pour faire un éco-lieu. [ …] J’ai mis ma ferme en vente. Mes canaris y étaient presque tous morts en 1 mois, toutes les plantes y sont mortes elles aussi. Je ne sais plus comment me sortir et de ce tourbillon de désolations et de souffrances depuis janvier. Mon appétit baisse et je pense souvent à la mort.

Quant à la plainte, elle a été classée par la justice malgré l’ensemble des preuves irréfutables. […] »

Et ces jours derniers, des rumeurs ont même circulé (mais fort heureusement non fondées) sur sa mort.

Serait-elle atteinte du « symptôme » Natacha Rey, devenue gravement malade depuis qu’elle s’est intéressée de près (de trop près?) à Brichel Trogneux ?

Et l’on n’ose penser au sort que la Camarde a réservé à Claire Séverac, ou plus près de nous au général Delawarde, Éric Denécé, Olivier Marleix. Et tant d’autres moins connus.